Aller au contenu

Vincent Romera – Photographe


Né en 1989, j’ai développé dès mon enfance une certaine sensibilité pour la Nature et en particulier la faune sauvage.

C’est assez logiquement que je me suis orienté vers un BTS Gestion des Espaces Naturels en 2008 et ce fût pour moi une révélation. C’est à la même époque que je commence la photo afin de ramener des images de mes sorties et pouvoir identifier sur photos les reptiles, libellules, papillons et autres orchidées que je croisais sur les chemins du Sud Aveyron. Rapidement je me suis pris au jeu et de la simple photo « naturaliste » j’en suis venu à chercher des compositions plus abouties. Durant ces années, en autodidacte, j’ai développé une passion (une obsession presque !), pour les oiseaux et en particulier les rapaces qui me fascinent toujours aujourd’hui.

Par la suite, j’ai effectué plusieurs années de bénévolat pour différentes associations et structures dans la protection de la nature tout en suivant une licence professionnelle dans la conservation des milieux naturels. J’ai ensuite occupé un poste d’écologue spécialisé en ornithologie durant plusieurs années dans le domaine des études d’impact environnemental, notamment en milieu méditerranéen.

Après avoir passé 9 mois à Madagascar en 2017 et participé sur place à une mission d’exploration dans le massif du Makay en tant que co-responsable scientifique, je suis actuellement « responsable de projet » pour l’association HUMY (Human and Biodiversity), où je travaille sur les aspects « évaluation et conservation des écosystèmes ».

Côté matériel photo, j’ai passé de nombreuses années à travailler avec un reflex Sony très basique et ce n’est que depuis quelques années que je suis passé aux choses sérieuses en investissant dans du matériel Canon.

Nicaragua à l'automne 2019 : la barre mythique des 1 million de rapaces migrateurs comptabilisés est dépassée !! (Spot : Loma del Diablito)

 

Mes sujets photographiques de prédilection sont le paysage, la faune et la flore mais je suis aussi attiré par l’Urbex (ou exploration urbaine). Cette pratique met en évidence l’abandon de lieux autrefois utilisés par l’Homme et leurs déchéances. J’aime voir la Nature reprendre ses droits sur les édifices. Cela nous rappelle que nous ne sommes pas grand-chose dans ce monde mais que notre impact environnemental est lui loin d’être négligeable.

Bonne visite !